L’entreprise Solev allie aménagement et protection.
Le coup de projecteur de la semaine : l'éclaireur CEDRE SOLEV ! ?
Dans le Vaucluse, l’entreprise SOLEV s’est donné pour mission d’aménager vos espaces verts et de protéger votre environnement. Chaque jour, ce sont plus de 30 salariés qui interviennent dans le quart sud-est de la France. Leur objectif : mettre en valeur vos parcs, vos jardins ou vos lieux de rencontre. Une entreprise qui a également reçu plusieurs distinctions pour son travail d'excellence, notamment le Labels RSE QualiPaysage, ainsi que deux prix lors des Victoires du Paysage.
« La biodiversité est un enjeu majeur et nos entreprises peuvent aussi relever ce défi », lance Quentin Lefaucheux. Ce dirigeant d'une entreprise d'aménagement et d'entretien d'espaces verts basée à Carpentras a la conviction chevillée au corps. Moins d'irrigation, des revêtements innovants et perméables aux eaux de pluie, l'implantation d'espèces adaptées au climat pour éviter les traitements : Quentin Lefaucheux est bien décidé à convaincre ses confrères autant que ses clients. Aujourd'hui, le dirigeant s'est engagé dans le bureau national de l'UNEP, Union des entreprises du paysage, en tant que responsable Qualité, sécurité, environnement. « CEDRE m'a convaincu de l'importance de promouvoir la RSE dans le mouvement », résume-t-il. Autre action phare pour l'entreprise, avoir embarqué ses collaborateurs. En 2019, un nouveau contrat pour la SNCF a amené l'entreprise à internaliser un sous-traitant historique. En 1 an, l'équipe est passé de 8 à 37 salariés. Un changement d'échelle et un défi humain. « Aujourd'hui, chacun porte les valeurs de l'entreprise. Et c'est une fierté pour tous! »
À partir de 2018, Solev a musclé son approche, en s'emparant de la RSE via le parcours CEDRE. « Je me suis engagé pour mon entreprise et pour les autres », explique Quentin Lefaucheux. Car pour cet ancien président régional de l'Unep, le changement des habitudes des uns, passera par les exemples vivants portés par les autres. Et il veut être de ceux-là. « Dans nos métiers, il faut se rendre à l'évidence. L'usage des produits phytosanitaires, c'est de l'histoire ancienne. C'est peut être dur à entendre mais il existe des solutions et il faut les valoriser », poursuit-t-il.
Pour contact : Solev (reseau-preci.org)
